Si la silhouette de l’Egret One reste facilement identifiable, plusieurs éléments de la partie-cycle évoluent. La planche repose-pieds, le garde-boue arrière et la jante avant (désormais à bâtons) gagnent en légèreté. Du côté du poste de pilotage, le levier de frein intègre désormais une sonnette alors que l’affichage des informations se fait au travers d’un nouveau panneau d’affichage numérique.
Dans les coulisses, l’Egret One V3 profite d’une foule d’améliorations destinées à en améliorer le confort et la praticité. Sans aller jusqu’à être waterproof, l’Egret V3 bénéficie enfin d’un traitement contre l’eau digne de ce nom. Toujours au chapitre des doléances, elle est livrée avec un chargeur fanless (c’est-à-dire sans ventilateur) silencieux qui protège la batterie contre les surtensions.
On notera enfin une mise à jour du software des BMS et du contrôleur, ce qui se traduit par une meilleure coordination entre les composants, et donc une fiabilité accrue. L’Egret évolue en gardant ses principales forces (discrétion, tenue de route, vitesse de pointe). L’autonomie et la stabilité reste identique (rouler confortablement et en toute sécurité à la vitesse de 20 km/h sur des trajets de 23 kilomètres).